Sous les soleils / Under the Suns
Mix media installation, 2018.
Variable dimensions.
Painted wood, interventions directly on the walls of the gallery, reflektor, reflektor holder, coper, transducer, amplifier, cables, audio file, steel plates, alumimium, TMSingularityblack paint, aluminium, pyrite, clip, motor, electronics, neon, gold nugets, LED, red gels.
Mix media installation, 2018.
Variable dimensions.
Painted wood, interventions directly on the walls of the gallery, reflektor, reflektor holder, coper, transducer, amplifier, cables, audio file, steel plates, alumimium, TMSingularityblack paint, aluminium, pyrite, clip, motor, electronics, neon, gold nugets, LED, red gels.
Photos: Justin Wonnacott, Amélie Laurence Fortin, Jillian McDonald
Texte d’exposition
Pour son exposition Sous les soleils, Amélie Laurence Fortin a pris le pari de développer un corpus d’œuvres inspiré du cercle polaire arctique où elle a passé 20 jours en octobre dernier. Alors que le paysage nordique est abordé depuis quelques années dans son travail, le besoin de partir de nouveau à l’aventure pour transformer son imaginaire et entreprendre un premier travail en art sonore afin de construire de nouvelles formes s’est imposé naturellement.
Les sons sous-marins tonitruants des glaciers ou ceux plutôt cosmiques des pierres lancées sur un lac gelé, le silence en suspens du 80e parallèle nord, et l’impossibilité technique d’enregistrer les sons des aurores boréales sont quelques-uns des points d’encrages des œuvres produites spécialement pour AXENÉO7.
Les exercices de traduire en temps réel les sons pour imaginer des formes et de décortiquer des phénomènes inconnus pour déduire des espaces négatifs entre les ondes ont inévitablement permis une immersion dans l’infiniment grand et l’infiniment petit. Chacune des oeuvres de Sous les soleils est un chapitre construisant un récit intergalactique improbable entre l’art et la science sous la forme de sculptures sonores, d’interventions architecturales, de photographies, ainsi que bien d’autres œuvres qui seront produites dans l’intensité jusqu’au jour du vernissage.
Pour son exposition Sous les soleils, Amélie Laurence Fortin a pris le pari de développer un corpus d’œuvres inspiré du cercle polaire arctique où elle a passé 20 jours en octobre dernier. Alors que le paysage nordique est abordé depuis quelques années dans son travail, le besoin de partir de nouveau à l’aventure pour transformer son imaginaire et entreprendre un premier travail en art sonore afin de construire de nouvelles formes s’est imposé naturellement.
Les sons sous-marins tonitruants des glaciers ou ceux plutôt cosmiques des pierres lancées sur un lac gelé, le silence en suspens du 80e parallèle nord, et l’impossibilité technique d’enregistrer les sons des aurores boréales sont quelques-uns des points d’encrages des œuvres produites spécialement pour AXENÉO7.
Les exercices de traduire en temps réel les sons pour imaginer des formes et de décortiquer des phénomènes inconnus pour déduire des espaces négatifs entre les ondes ont inévitablement permis une immersion dans l’infiniment grand et l’infiniment petit. Chacune des oeuvres de Sous les soleils est un chapitre construisant un récit intergalactique improbable entre l’art et la science sous la forme de sculptures sonores, d’interventions architecturales, de photographies, ainsi que bien d’autres œuvres qui seront produites dans l’intensité jusqu’au jour du vernissage.
Exhibition text
For her exhibition Under the Suns, Amélie Laurence Fortin took the challenge to develop a body of work inspired by the Arctic Circle where she spent 20 days last October. While the Nordic landscape has been approached for the past few years in her work, she felt the impulse to go back on an adventure, transforming her imagination and undertaking the production of a first audio work — building new forms became a natural necessity.
The thundering underwater sounds of glaciers or cosmic rocks thrown on a frozen lake, the silence of the 80th parallel north, and the technical impossibility of recording the sounds of the northern lights are some of the starting points for the works produced especially for AXENÉO7.
As if the exercise of translating sound in real time to imagine forms, to dissect unknown phenomena to deduce negative spaces between the waves had inevitably allowed an immersion in the infinitely large, and the infinitely small. Each work of Under the Suns is therefore a chapter constructing a kind of improbable and enthusiastic intergalactic narrative between art and science in the form of sound sculptures, architectural interventions, photographs, as well as many other works that will be produced with intensity until the day of the opening.
For her exhibition Under the Suns, Amélie Laurence Fortin took the challenge to develop a body of work inspired by the Arctic Circle where she spent 20 days last October. While the Nordic landscape has been approached for the past few years in her work, she felt the impulse to go back on an adventure, transforming her imagination and undertaking the production of a first audio work — building new forms became a natural necessity.
The thundering underwater sounds of glaciers or cosmic rocks thrown on a frozen lake, the silence of the 80th parallel north, and the technical impossibility of recording the sounds of the northern lights are some of the starting points for the works produced especially for AXENÉO7.
As if the exercise of translating sound in real time to imagine forms, to dissect unknown phenomena to deduce negative spaces between the waves had inevitably allowed an immersion in the infinitely large, and the infinitely small. Each work of Under the Suns is therefore a chapter constructing a kind of improbable and enthusiastic intergalactic narrative between art and science in the form of sound sculptures, architectural interventions, photographs, as well as many other works that will be produced with intensity until the day of the opening.
LINKS : Axeneo7 galleryWEBSITE / Enia Gallery WEBSITE
PRESS : ESSE arts + opinions, no 93, Emmanuelle Choquette
PRESS : ESSE arts + opinions, no 93, Emmanuelle Choquette
EXHIBITION TRAVELS DETAILS
Enia Gallery, Athènes, Grèce, 2018 (Autoportrait au triangle)
Poznan Art Week, Poznan, Pologne, 2018 (Planet Caravan)
Espace )( Parenthèses, Québec, Canada, 2019 (Decade-cuivre)
ACKNOWLEDGMENT
Conseil des arts du Canada
Daïmon arts médiatiques, Michael Caffrey, Jean-François Lahos, Ted Jacobson, Mels studio et post production, Jacques Fortin, Justine Rainville, Bijouterie Everest Cherbaka 1950, Pierre-Louis Fortin, Mélissa St-Pierre, Pawel Kaminski, Théâtre le Tritium, Charles le technicien le plus merveilleux, Juliane Charbonneau, Benoît Martel, Graphtek, Emmanuelle Choquette.
Conseil des arts du Canada
Daïmon arts médiatiques, Michael Caffrey, Jean-François Lahos, Ted Jacobson, Mels studio et post production, Jacques Fortin, Justine Rainville, Bijouterie Everest Cherbaka 1950, Pierre-Louis Fortin, Mélissa St-Pierre, Pawel Kaminski, Théâtre le Tritium, Charles le technicien le plus merveilleux, Juliane Charbonneau, Benoît Martel, Graphtek, Emmanuelle Choquette.